Si vous avez lu attentivement les actes I et II de la saga De la SEO à la GEO, vous avez pigé : vos contenus ne sont pas calibrés pour les moteurs génératifs ? Vous passez à la trappe. Bon, assez de blabla théorique. Comment faire concrètement ? Voici une checklist récapitulative des points abordés précédemment afin d’adapter vos articles aux exigences des IA (à copier coller, conserver précieusement, utiliser au quotidien) .

1. Un plan en béton

  1. Titres H1, H2, H3 bien posés.
  2. Une FAQ en fin d’article.
  3. Des listes à puces pour les points importants.
    👉 Si c’est clair pour vos yeux, ce sera clair pour l’IA.

2. Du simple, pas du compliqué

  1. Phrases courtes.
  2. Définitions nettes.
  3. Pas de jargon inutile.
    👉 Règle d’or : si un ado de 15 ans ne comprend pas, l’IA risque de galérer aussi.

3. Du concret et du comparatif

  1. Articles “X vs Y” (Mailchimp ou Sendinblue ? SEO ou GEO ?).
  2. Cas pratiques, exemples chiffrés.
    👉 Les IA adorent les réponses directes, ça colle pile à leur logique.

4. Des sources fiables, sinon rien

  1. Médias reconnus, études, rapports, statistiques.
  2. Des liens clairs et vérifiables.
    👉 Les IA font plus confiance aux sources “validées par des tiers” qu’aux contenus auto-proclamés.

5. Votre patte, pas du copier-coller

  1. Analyse originale.
  2. Ton personnel assumé.
  3. Pas de contenus clonés par l’IA.
    👉 Si votre texte ressemble à 10 autres, pourquoi l’IA vous citerait, vous ?

10. Du frais, du neuf, de l’actuel

  1. Mettre à jour vos articles anciens.
  2. Ajouter des données récentes.
  3. Faire vivre vos contenus.
    👉 Une étude poussiéreuse de 2018, ça n’intéresse ni vos lecteurs… ni les IA.

11. Une technique clean

  1. Contenu lisible en HTML simple.
  2. Pas de texte caché derrière du JavaScript ou des animations.
    👉 Si l’IA ne peut pas scanner, elle ne peut pas citer. Point barre.

Voilà, vous avez la liste. Pas de magie noire, pas de bidouilles. Juste du bon sens appliqué au numérique : clarté, fraîcheur, crédibilité, originalité.

À vous de jouer. Et souvenez-vous : demain, ce n’est plus Google qui dira si vous existez. Ce sera l’IA. Alors mieux vaut qu’elle ait envie de parler de vous.

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